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L'Etat de Droit ne pourra être retrouvé qu'à partir du moment où Fonctionnaires, Magistrats, Notaires, Avocats, Juges, Médecins, Experts en Justice, Policiers, Officiers Armée, Enseignants, Directeurs d'Ecole, Directeurs d'Hopitaux, Présidents de C.P.A.S., Présidents des logis sociaux, Présidents d'Intercommunales, Délégués de Syndicats, Hommes Politiques etc., en résumé toute personne ayant une quelconque implication dans l'intérêt public, sera contraint d'annoncer son appartenance à la Franc-maçonnerie.
Les Journalistes devront également être inclus dans cette règle, puisqu'il ne fait plus aucun doute que la Presse et/ou TV sont devenues le 4e pouvoir et qu'il est fréquent que cette corporation manipule l'Opinion Publique !
L'Etat chez nous s'affaisse, chacun le sent, de jour en jour. Autrefois dirigé par les grands corps, il est aujourd'hui aux mains de réseaux et de castes qui forment de véritables bandes. Parmi ces groupes, le plus puissant est, plus que jamais, celui des maçons. En coulisses, sans bruit, en évitant tout scandale, ils orientent les deals dans les affaires, tiennent certaines grandes entreprises (CILE, DEXIA...), influencent les ministres et pèsent sur les médias (RTBF, LE SOIR...). Seule limite, réelle, à ce pouvoir : leurs divisions internes. Les obédiences se livrent une farouche guerre de territoires et certaines loges défendent des intérêts particuliers.
On peut imaginer que les émissions politiques à RTL et à la RTBF sont façonnées par une influence maçonnique par les maçons PS à la RTBF et les maçons MR à RTL.
L'administrateur général de la télévision publique belge RTBF, Jean-Paul Philippot, a été élu à la tête de l'Union européenne de radiodiffusion (UER), le groupement européen des principales télévisions nationales.
Yves Bigot cède sa place de directeur des antennes TV à François Tron.
Hauts-fonctionnaires (site supprimé !!! pourquoi?) coperniciens wallons, nous y voici. Le gouvernement régional désignera bientôt, pour des mandats de 5 ans, les neuf têtes de l'administration et les patrons d'une douzaine de pararégionaux. Que des socialistes, quasi et combien de frangins, la présélection a été confiée en toute indépendance au Selor.
On pourrait dire que la Franc-Maçonnerie est une secte luciférienne politico-philosophique de type mafieux qui a infiltré les rouages de notre société aux plus hauts niveaux. Il est reconnu que les grandes décisions politiques se font dans les loges.
On les a pas vus venir, comme des maquisards, bien camouflé dans l’ombre de leur Loge ils se sont infiltrés de façon sournoise un peu partout dans la fonction publique et ont comme papa dévasté la Wallonie.
On dirait des « seigneurs féodaux » qui tentent de verrouiller définitivement le système à leur profit.
Qui dit papa dit enfant, on pourrait aussi se demander s'il n y a pas de plus en plus d'enfants de la veuve, fils de la veuve ou louveteaux à des postes bien rémunérés dans les administrations wallonnes ou en politique, le népotisme maconnique est une réalité (le fils MATHOT, le fils DAERDEN, le fils MICHEL, le fils VAN CAU, le fils DUCARME, la fille/fils/pére/frère/grand-père/époux/ex-conjoint ONKELINK-UYTTENDAELE etc...).
L’omerta maçonnique doit être brisée là-dessus, comme l’a été in illo tempore l’immixtion entre l’Eglise et l’Etat, au nom des principes mêmes de la franc-maçonnerie. Car tous ces édiles nous chantent en chœur que, ce qui compte le plus, c’est l’égalité des chances. Tout cela est bien entendu politiquement correct.
Sans doute veulent-ils parler des autres qui ne les ont pas encore rejoints ?
La franc-maconnerie devrait demander le financement de son "culte" par l'état plutôt que de laisser les frangins faire de la consultance bidon foireuse dans le service public.
Dans ce milieu, l’argent est devenu la valeur suprême, au fur et à mesure que s’étend l’incapacité à s’occuper des affaires du pays. L’Etat s’affaiblissant, des réseaux d’influence se sont imposés, des bandes ont pu s’emparer de secteurs et de territoires entiers.
L’habillage permettant de masquer le fait que cet enrichissement a cessé de bénéficier à la collectivité est la corporate socialo-libéro tolérance, un système où des « comités de rémunération » au sein des conseils d’administration sont censés réguler raisonnablement les revenus des dirigeants. Pure hypocrisie, car tout le monde se tient par la barbichette de la corruption. D’un côté, afin d’éviter toute remise en question, on pardonne à ceux qui appartiennent à ce milieu leurs incompétences, même si elles ont coûté des milliards, de l’autre on traque le moindre centime superflu dans les dépenses sociales, et on crée un climat de défiance au sein de la population.
Ils monopolisent les postes les plus importants, cumulent les privilèges et font de l’argent leur principale passion.
Ils se servent de l’Etat pour aider leurs amis, fabriquent des lois sur mesure pour leur bon plaisir et laissent les régions aux mains de bandes rivales.
Patrons, hauts fonctionnaires, élus ou experts, ces oligarques nous gouvernent avec un mélange d’incompétence et de lâcheté.
Le secret est le secret de l’autre et la clé de l'influence.
Liste des Franc-Maçons BELGE
Voici une liste de Franc-Maçons DCD sur wikipédia. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un maçon historien affirme que 50 % des ministres du gouvernement Verhofstadt 1 étaient «frères». Le juge Panier révèle qu'à Namur, il était le seul président de tribunal non maçon. Jean-Jacques Viseur (cdH) explique qu'il lui est parfois reproché d'«être le premier bourgmestre de Charleroi non maçon». 50 % des parlementaires belges en sont. Il existe même une fraternelle des parlementaires! Enfin à Charleroi toujours, 50 % des inculpés dans les «affaires» sont francs-maçons. Pur hasard ou dérive consternante?
La Charité de Charleroi
Symbole sur la maison communale de Charleroi
A Charleroi, après s’être étripés comme des coqs, Van Cau et Chastel ont signé la paix des braves, sous les auspices du Grand orient de Belgique et de la loge La Charité Charleroi dont est également membre Claude Despiegeleer.
Pour moi, à Charleroi, il y a une autre instance qui n'a pas de fondement démocratique qui prend les décisions : des loges maçonniques affairistes où certains ont des idées précises derrière la tête. Pour les uns, entrepreneurs, c'est obtenir des marchés où couler du béton, pour les autres, architectes, de promouvoir des projets. Si Olivier Chastel s'y est fait introduire, c'était pour nourrir son ambition politique de devenir autre chose que la mouche du coche, d'arriver à être le contrepoids de Van Cau".
Procès de Robert Wagner: tentative de conspiration ?
Le Procureur du Roi de Charleroi, Christian de Valkeneer, vient d'ajouter, à titre d'information, une farde explosive au dossier de l'homme d'affaire carolo Robert Wagner. Il est question dans une lettre en possession de la justice d'une tentative de conspiration imaginée par quelques amis francs-maçons de celui-ci.
Sur un bristol daté et signé d'août 2008, découvert lors d'une perquisition dans la maison de la côte d'Azur de la famille Wagner, vers la mi-septembre de cette année, un franc-maçon bien connu à Charleroi et membre d'une petite loge de Châtelet écrit à la main à un autre franc-maçon, un éminent médecin ami de Robert Wagner.
Ce franc maçon a été informé par un magistrat, membre de la même loge régulière, que Robert Wagner risque gros lors de son procès. Il s'en émeut. Cela irait mieux, poursuit le rédacteur, si les juges étaient francs maçons. Il est même question de tout organiser pour que tous les magistrats soient des frères bienveillants acquis à la fraternité maçonique.
Suite à la découverte de cette lettre, les deux hommes ont été entendus par le Procureur du Roi à qui ils répondent qu' il n'y a rien de répréhensible à mettre en place un plan de pression et d'amitié, que d’autres que des francs maçons le font.
Cette lettre manuscrite est versée depuis quelques jours au dossier pénal de Robert Wagner, elle pourrait servir à renvoyer le procès devant la cour d'appel de Liège ou de Bruxelles pour cause de suspicion légitime, puisqu'elle jette un doute sur la probité de magistrats.
Le procès de Robert Wagner s'ouvrira mercredi, en correctionnel. L'industriel Carolo est poursuivi pour faux, usage de faux, corruption et détournement de subsides dans le cadre du rachat d'une société.
Cariat récupère son argent saisi
A à la suite d'un incroyable cafouillage dans la tenue de l'échéancier, Lucien Cariat, ex-échevin PS de Charleroi et président de l'ICDI inculpé, a repris possession, en toute légalité, des deux millions d'euros qui lui avaient été saisis.
C'est un invraisemblable mécompte dans le cadre de la gestion des affaires politico-judiciaires de Charleroi. La juge d'instruction France Baeckeland vient de voir se volatiliser une partie des deux millions d'euros saisis à l'automne 2006 au siège de l'Intercommunale de collecte et de destruction des immondices de Charleroi (ICDI) et dans un coffre à l'agence Fortis de Marcinelle.
L'ex-échevin PS et ancien président-directeur de l'ICDI, Lucien Cariat, poursuivi pour faux et usage de faux, abus de biens sociaux et détournements, a toujours affirmé que ces fonds lui appartenaient. A la suite d'un incroyable cafouillage dans la tenue de l'échéancier, il en a repris possession. En toute légalité.
Prévenue de l'opération, Baeckeland a obtenu un nouvel avis de saisie – tardif. Mais à son exécution, l'argent transféré sur un compte de transit avait déjà été intégralement retiré. Où est-il passé et à quoi a-t-il bien pu servir ? Seul Lucien Cariat a les réponses, mais il se tait dans toutes les langues : il fait de son argent l'usage qu'il lui plaît.
En novembre 2006, une perquisition au siège de l'entreprise publique avait débouché sur la découverte d'un véritable trésor de guerre dans le coffre-fort personnel de l'intéressé, libéré en juillet après 40 jours d'emprisonnement à Jamioulx. Les enquêteurs y avaient trouvé du numéraire et des titres pour plus de deux millions.
Si l'importance de ce patrimoine ne manquait pas de laisser planer des doutes sur son origine, la défense s'était opposée aux mesures de « saisie directe et par équivalence » ordonnées par la juge, arguant qu'il s'agissait de « fonds privés ». C'est ainsi qu'une requête en levée de saisie avait été introduite devant la chambre des mises en accusation. A défaut d'avoir statué dans les délais, cette juridiction d'appel a laissé à Cariat le droit de récupérer ses fonds : au jour où la saisie est devenue libératoire, il a donc exigé le remboursement des sommes bloquées. Très vite, elles ont été versées sur le compte de la caisse des règlements pécuniaires de son avocat, comme le prévoit la procédure. Il ne restait plus qu'à en organiser le retrait.
Un moyen de pression perdu
Informée du dépassement de l'échéance et de la demande de remboursement, la juge Baeckeland a obtenu un nouvel avis de saisie à pratiquer sur le compte de transit. Mais à exécution, l'argent n'y était plus. En reprenant ce qui lui appartient jusqu'à preuve du contraire, Cariat n'a commis aucune infraction. Il a joué – et gagné – une manche contre la justice. Contre le parquet général en l'occurrence, qui avait un beau moyen de pression sur lui, indépendamment des condamnations pénales toujours possibles à l'issue des procès. L'affaire est d'autant plus dommageable que la confiscation des titres était présentée comme impérative dans son cas.
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