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Le 24 mai 2014, veille des élections fédérales, régionales et européenne en Belgique, une fusillade éclate au musée juif du Bruxelles et fait 4 morts. Le premier attentat antisémite d’ampleur depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Enfin, c’est ce qu’on nous dit…mais est-ce vraiment la réalité ? DEBOUT LES BELGES a enquêté sur cette prétendue tragédie qui est venue entacher la capitale belge et qui a fait rejaillir le spectre de l’antisémitisme à moins de 24h d’un scrutin capital pour l’avenir de notre pays. Comme tout bon enquêteur qui se respecte, nous nous sommes demandés à qui profite le crime…
Revenons tout d’abord sur les faits :
Samedi 24 mai, 15h28, quartier du Sablon en plein cœur de Bruxelles, alors qu’un soleil de plomb brille sur la capitale belge, une Audi A6 noire immatriculée 9-AAA-130 s’immobilise en double file à hauteur du 21, Rue des Minimes. Un homme sort du côté passager muni de 2 sacs à dos. A peine entré dans le Musée juif de Bruxelles, l’homme sort de son sac une arme et tire sur des visiteurs. Selon les autorités, 3 personnes décèdent sur le coup. Une 4ème décèdera à l’hôpital le lendemain des faits.
Comme si de rien n’était, le tireur remonte dans l’Audi et prend la fuite. Par chance, un témoin relève la plaque d’immatriculation, un élément qui sera capital dans notre recherche de la vérité.
Peu après la tragédie et en quelques minutes, les rues sont bouclées. La présence policière est à son comble. Tous les médias sont présents, tous les politicards également. Didier Reynders, Joëlle Milquet, Elio Di Rupo, Olivier Maingain, Yvan Mayeur, Viviane Teitelbaum, Annemie Turtelboom,… La récupération politique d’un tel événement est une aubaine pour ces chasseurs d’images. L’électeur moyen qui ne sait trop pour qui voter la veille des élections appréciera sans doute la vaillance et le courage de ces soldats de la liberté en quête de légitimité.
C’est ce 24 mai que la Belgique se découvre un super héros ! Super Didier, ministre de l’intérieur, était sur place. Il a entendu les coups de feu et a couru au secours des victimes. Il devait vraiment être à quelques mètres des faits car, à la télévision, pas une seule trace de transpiration sur sa chemise. Il a pourtant appelé l’ambulance et s’est précipité pour tenter de porter secours aux victimes. Sans les toucher j’imagine puisqu’il n’a pas une seule trace de sang sur ses vêtements… Il est tellement choqué par cet événement qu’il sort livide du musée mais donne immédiatement après les faits une multitude d’interviews devant les caméras. Une chance inespérée à moins de 12 heures du début des élections ! Super Didier termine sa journée dans un restaurant chic de la chaussée d’Ixelles, le Cose Cosi où des militants de DEBOUT LES BELGES le surprennent entouré de toute son équipe et satisfait du travail accompli. Que voulez-vous, la violence, ça creuse l’appétit…
Les interviews se poursuivent durant toute la soirée. Tous les responsables politiques en profitent pour montrer leur tronches « colgatées » et récupérer politiquement cet événement dramatique.
Ils seront aidés par Joël Rubinfeld, le président de la Ligue Belge contre l’Antisémitisme (LBCA) et ancien Vice-Président du Parti Populaire de Mischaël Modrikamen, qui dira moins de 2h après les faits et sur toutes les chaînes de télévision nationales et étrangères que « ce qui s’est passé était prévisible » car « Nous assistons ces dernières années à une libération de la parole antisémite. Elle reprend du poil de la bête, notamment à travers les discours de l’humoriste Dieudonné ou du député belge antisémite Laurent Louis ». Nouvelle récupération politique !
Cette intervention irresponsable n’est pas inodine. Joël Rubinfeld m’en veut terriblement. En quittant le PP en 2011 alors que j’étais son seul et unique député, j’ai fait perdre au Parti Populaire la coquette somme de 40 000 euros par mois, une somme qui pour moitié revenait tous les mois à Joël Rubinfeld (15 000 euros pour son salaire de Vice-Président et 5000 euros pour la location du siège du PP dont il était propriétaire à l’Avenue Molière).
Au soir du drame de Bruxelles, Joël Rubinsfeld s’est fait l’allié des anciens partis politiques dont il a été membre par le passé : le MR et le PP ! Il se fait même l’allié du PS toujours friand de lutter contre les prétendus racistes et pseudos antisémites. Le but était clair : décourager les citoyens de me soutenir moi et mon mouvement DEBOUT LES BELGES à quelques heures des élections en me mettant sur le dos une responsabilité totalement surréaliste dans le meurtre commis à Bruxelles. Laurent LOUIS, qui tenait un meeting en plein air et sans la moindre autorisation au moment des faits à Charleroi et dont personne n’a parlé, serait responsable moral de cette tuerie prétendument antisémite ! Vous imaginez un peu ? Je comprends mieux pourquoi les autorités communales de Charleroi nous ont laissé tenir notre meeting en plein centre-ville sans intervenir. Savaient-elles qu’on préparait contre DEBOUT LES BELGES une attaque atomique ? Comme à chaque fois qu’on se déplace quelque part nous avons droit à un comité d’accueil policier, même pour distribuer des tracts sur les marchés, cette tolérence du 24 mai à notre égard ne peut nous sembler que suspecte…
Ainsi, à quelques heures des élections, on m’accusait d’être responsable de cet attentat antisémite à cause de mes prétendus appels à la haine des Juifs. On m’avait déjà accusé d’être à l’origine d’un coup d’Etat au Congo visant à renverser le président fantoche de la RDC, Joseph Kabila, me voilà maintenant cité comme responsable de la tuerie antisémite du musée Juif de Bruxelles ! Peut-être apprendrons-nous dans quelques semaines que j’étais le commanditaire des attentats du 11 septembre 2001 voire le conseiller d’Adolf Hitler en 1940… Comme on sait, plus c’est gros et plus ça passe !
Immédiatement après les déclarations irresponsables de Joël Rubinfeld (cet homme capable de sortir une arme en plein bureau politique du PP et de menacer ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui), je fus menacé de mort sur mon téléphone portable. Des menaces précises et sérieuses qui entrainèrent ma mise sous protection de la police pendant de longues heures. Le lendemain, je dus même me rendre au bureau avec une escorte policière. Totalement surréaliste ! Des premiers éléments de l’enquête, il semblerait que les menaces téléphoniques aient été proférées en utilisant un numéro caché estonien. Preuve que ces menaces ne sont pas l’œuvre du premier plaisantin venu…
Je n’ai pourtant jamais eu de propos antisémites pour la simple et unique raison que je ne le suis pas. Je n’ai aucune animosité à l’égard des Juifs mais l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme est pugnace et il est vrai que nous assistons ces dernières années à une libération de la parole antisioniste. Dans l’exercice de mes fonctions de député, j’ai choisi de me positionner contre le sionisme. C’est ma liberté, c’est mon droit. Je l’ai choisi car je sais que le sionisme est une idéologie néfaste, néocolonialiste, fasciste qui prône la domination d’une race, d’un groupe religieux, d’individus appartenant ou prétendant appartenir à une communauté sur une autre. Toute personne attachée à la justice, à l’éthique, à la morale se doit d’être antisioniste. Si elle ne l’est pas, c’est qu’elle ne s’intéresse pas à cette question et est ignorante à ce sujet. Mais aujourd’hui, il est devenu impossible de dénoncer les exactions de l’Etat d’Israel, de critiquer honnêtement ce régime qui repose sur une théocratie militaire, sans être taxé d’affreux antisémite. Mon grand-père a pourtant résisté à l’oppresseur pendant la guerre et a passé 4 années dans un camp de travail allemand et j’ai moi-même été membre de la Brigade Piron qui libèra le pays du nazisme mais bon, passons…
Le mal était fait. Rubinfeld avait bien sali mon nom à quelques heures des élections. Nul doute que son objectif était de venir prêter main forte à son ami, Mischaël Modrikamen, ancien Président de la Communauté Israélite Libérale de Belgique, sioniste convaincu financé par Israël et tête de liste PP dans le Hainaut, ce Hainaut-même où je me présentais comme tête de liste DEBOUT LES BELGES à la Chambre tout en aidant le MR qui gagnera un siège dans le Hainaut le lendemain des faits, un MR dont l’homme a toujours été proche. Pour preuve, alors qu’il était Vice-Président du PP, Rubinfeld stockait, dans la cave de sa magnifique maison de maître sur la prestigieuse Avenue Molière dont il avait fait le siège du PP, des affiches du MR à l’affigie de ses amis : Armand De Decker, Frédérique Ries ou encore Viviane Teitelbaum (par solidarité communaitaire bien entendu…)
Et Didier Reynders, qu’en est-il me direz-vous ? Et bien Super Didier a fait un carton aux élections en devenant le champion des voix de préférence à Bruxelles avec plus de 53 000 voix personnelles ! Sans doute que de nombreux citoyens auront vu en lui le Superman dont notre pays avait besoin… Un Superman qui a pourtant pendant des années démontré son incapacité à gérer convenablement les finances du pays et sa politique internationale…
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cet attentat prétendument antisémite profite totalement au MR ! Un MR qui a toujours été proche de la Communauté juive de Belgique et qui compte en ses rangs de nombreux membres de cette communauté aux pouvoirs parfois surnaturels…
Pourrait-on imaginer que le MR soit à la base de cet attentat qui ne serait alors qu’une supercherie d’ Etat visant à influencer le résultat des élections ? On sait que de nombreuses analyses ont déjà cité le PRL, ancêtre du MR, comme responsable ou commanditaire des attentats commis dans les années 80 par la bande des tueurs du Brabant. Pourrait-on imaginer que cet attentat contre le musée Juif de Bruxelles soit en réalité un false flag, un attentat sous faux drapreau, une supercherie montée par nos dirigeants en vue d’orienter le résultat des élections ?
Cela pourrait paraître totalement surréaliste mais de nombreux éléments sont pourtant de nature à étayer cette thèse. Je vais les parcourir avec vous :
Didier Reynders est Ministre des Affaires étrangères. Il est donc bien placé pour préparer un tel attentat en collaboration avec les autorités israéliennes pour lesquelles tout acte antisémite est utilisé pour justifier l’oppression du peuple palestinien. Pour Israël un attentat contre les intérêts juifs dans le monde, c’est une aubaine ! De quoi justifier encore un peu plus les meurtres d’innocents palestiniens et la création de nouvelles colonies illégales en terres palestiniennes… Didier Reynders était en outre sur place lors de l’attentat puisqu’il a entendu les tirs et qu’il a appelé les secours. Le hasard fait parfois bien les choses… Vous savez que je ne crois pas au hasard…
Didier Reynders est le grand bénéficiaire de ce prétendu attentat. Comme toujours, il faut se poser la question de savoir à qui profite le crime. Vu le battage médiatique et les résultats des élections à Bruxelles, Reynders et le MR sont les grands gagnants !
Des informations glanées auprès de collaborateurs du MR nous permettent de savoir que le PS aurait été à la base des bugs informatiques rencontrés à Bruxelles et à Liège lors de la soirée électorale. Le PS serait également à la base des retards que l’on a rencontré dans les dépouillements en Wallonie et en particulier dans le Hainaut. Selon nos informations, le PS aurait bloqué la transmission des résultats vu ses scores catastrophiques. Un accord serait alors intervenu entre le PS et MR. Le PS n’étant pas dupe, il était au courant que l’attentat de Bruxelles n’était qu’un fake. Le PS fit donc pression sur le MR pour qu’il le laisse manipuler le résultat des urnes en Wallonie et à Bruxelles. Le MR accepta le deal à condition d’obtenir quelques élus de plus à la Chambre et la dotation publique qui va avec… Ce fut fait puisque le MR gagna 2 sièges à la Chambre… Le PS, lui, échappa à la catastrophe en acceptant une perte de 3 sièges alors que durant toute la campagne électorale, j’ai pu constater à quel point les électeurs souhaitaient sanctionner sévèrement le PS pour les trahisons dont il fit preuve durant ces 4 dernières années… Voilà comment se répartissent les sièges en Belgique… Les élections ne sont qu’un simulacre de démocratie, les élus ne sont pas choisis dans les urnes mais bien au Boulevard de l’Empereur et à la Toison d’Or ! Pas étonnant dès lors qu’avec 13 000 voix de préférence, 7ème score du Hainaut, je ne sois pas élu alors que d’autres candidats le sont avec parfois tout juste 6000 voix et que 18 sièges étaient en jeu…
Le tueur du musée juif est arrivé sur les lieux du crime à bord d’une Audi A6 (voiture traditionnelement utilisée par les services officiels de l’Etat belge. Le Président de la Chambre par exemple dispose d’une Audi A6 de fonction) immatriculée 9-AAA-130. Cette voiture est un voiture officielle qui a été vue (photos à l’appui) dans le défilé officiel du 21 juillet dernier. Etonnant, non ? L’Etat belge serait-il lié à cet attentat ?Capture d'écran 2014-05-30 10.22.15
Grâce à l’intervention d’un témoin, la plaque du véhicule a été identifiée et communiquée à tous les services de police. Rapidement, le propriétaire du véhicule fut identifié et intercepté dans le Nord de Bruxelles. Il fut considéré pendant les premières heures de l’enquête comme le suspect numéro 1 de cette fusillade. Ensuite, il passa très rapidement du statut de suspect à celui de témoin et fut finalement relâché. Il est évident que les téléphones ont dû chauffer. Imaginez qu’un fonctionnaire de l’Etat soit considéré comme l’auteur ou le complice de cet attentat antisémite, ça fait désordre… Il est pourtant difficile d’imaginer que l’homme intercepté n’était pas le chauffeur du tueur. Certains disent que la plaque aurait été copiée et utilisées par les terroristes. OK, je peux l’imaginer mais pourquoi donc utiliser une plaque officielle facilement repérable ??? Des Audis A6 avec des plaques banales, ce n’est pas ce qui manque en Belgique.Utiliser sciemment des plaques officielles aurait été un non-sens absolu pour des terroristes bien préparés comme l’était le tueur du Sablon! C’est pourtant ce qu’on tente de nous faire croire ! Tout porte à croire que le propriétaire de ce véhicule a bel et bien conduit le tueur sur place à la demande des autorités belges. L’Etat n’avait tout simplement pas prévu l’intervention de ce témoin qui nota la plaque d’immatriculation… A partir de là, il aura fallu s’adapter. C’est pourquoi le propriétaire est passé du statut de suspect à celui de simple témoin pour ensuite être totalement libéré. Le contraire aurait mis l’Etat belge particulièrement mal à l’aise sur la scène internationale…
Capture d'écran 2014-05-30 10.21.33Immédiatement après les faits une photo particulièrement choquante des victimes de l’attentat a été publiée dans la presse. C’est un fait rarissime ! En général, on ne montre JAMAIS les photos de personnes décédées dans la presse. Jamais sauf dans le cas de cette tuerie au Musée Juif. Et si on le fait, on prend soin de mettre un drap blanc sur celles-ci. Un peu comme s’il fallait bien prouver l’existence de cet attentat et émouvoir le public, la presse a diffusé cette image particulièrement choquante où l’on voit une femme gisant sur le sol avec une flaque de sang à hauteur de la tête. C’est étonnant qu’une telle photo ait pu être pubiée. Plus étonnant encore c’est la tâche de sang. En général, le sang s’écoule et forme une mare. C’est de là que vient l’expression « baigner dans une mare de sang ». Mais le sang de la dame en question doit être particulièrement épais car sur la photo, on voit clairement que ce sang s’est agglutiné pour former une toute petite flaque épaise d’un bon centimètre et demi. Etonnant, cette flaque de sang présente la même densité et épaisseur que le ketchup…
L’identité des victimes est interpellante. Emmanuel et Myriam RIVA, 2 victimes israéliennes liées au MOSSAD, les services secrets israéliens. Une coïcidence, un hasard ? Je ne crois ni aux coïncidences ni au hasard surtout quand il s’agit d’Israël… Les 2 autres victimes sont une française résidant à Uccle, la commune de Didier Deynders et un jeune étudiant belge, Alexandre Strens domicilié dans le Nord de Bruxelles. Soit 3 ressortissants étrangers inconnus et sans attaches en Belgique. Pratique si on veut détourner l’attention des victimes et se focaliser sur l’auteur des faits.
Les prétendues victimes israéliennes ont été rapatriée en urgence vers Tel-Aviv le lundi dans la journée. En effet, mardi, soit un peu plus de 48h après les faits, Monsieur et Madame RIVA étaient déjà inhumés en terres « palestiniennes ». Pourquoi un tel empressement ? N’est-il pas d’usage pour un tel attentat de mener des expertises médico-légales poussées afin de trouver un quelconque indice aussi minime soit-il ? La victime française a également été rapatriée en France lundi alors qu’elle était pourtant domiciliée à Uccle. Et qu’est devenu le corps d’Alexandre Strens ? Pourquoi n’a-t-on pas permis aux Belges de lui rendre hommage ? Une recherche rapide sur Google semble en outre démontrer qu’Alexandre Strens n’existe pas sur le net en dehors de cet attentat. Le seuls liens qui parlent de lui sont en rapport avec l’attentat. Pas un seul profil Facebook, Twitter ou Linkedin. Très étonnant pour un jeune de 25 ans… Pas de traces de ce jeune homme. On dirait que son nom apparaît pour la toute première fois lors de l’éclatement de cette affaire. Etrange… Faites l’expérience et tapez votre nom sur Google, vous trouverez toujours un lien qui vous concerne (école, sport, hobby, emploi, annonce, compte Facebook, etc…). Ce n’est pas le cas d’Alexandre Strens…
Vu l’importance et la gravité des faits, on s’attendrait à ce que les 2 victimes belges et françaises aient droit à des funérailles nationales en présence de nos plus hautes autorités respectives. Pourtant plus de 5 jours après les faits, aucune trace de ces funérailles dont la presse serait pourtant la première à se faire l’écho. De quoi se demdander s’il y a bel et bien des victimes de cet attentat. Traditionnellement, on peut lire dans les journaux les témoignages de proches qui vantent les mérites des personnes décédées tragiquement. Ici, bizarrement, pas le moindre témoignage de proches des victimes… Et si des funérailles devaient être organisées à la suite de cet article, encore faudrait-il se demander si les cercueils contiennent bien les corps des personnes identifiées comme les victimes du Musée Juif. Il faudra aussi se demander si ces vicitmes sont bien décédées ce jour-là à Bruxelles au musée… Autant de questions que nous sommes en droit de nous poser vu l’incohérence des faits…
Ces différents éléments sont de nature à nous faire légitimement penser que cet attentat au Musée Juif de Bruxelles est un coup monté voire même une supercherie de l’Etat perpétrée dans le but d’influencer le résultat des élections du 25 mai 2014. Nous pouvons même légitimement douter de l’existence de victimes.
Les autorités belges se seraient-elles inspirées des attentats sous faux drapaux commis aux Etats-Unis (11 septembre 2001, attentat de Boston) ou en France (affaire Merah) ? Nous sommes en droit de nous poser la question mais savez-vous ce que sont les attentats sous faux drapeaux ? Non ? Je vais donc vous l’expliquer. En fait, créer des attentats terroristes est souvent le chemin le plus court vers le pouvoir. En se penchant sur le passé, il arrive souvent qu’on parvienne à mieux appréhender le présent. Ainsi, en 1962, l’état-major de l’armée américaine avait planifié de faux attentats terroristes contre SA propre population afin de pouvoir légitimer une action militaire contre Cuba, le Communisme et Fidel Castro. Les plans étaient simples: tuer un maximum de citoyens américains qu’ils soient civils ou militaires. Le but de ce projet était de manipuler l’opinion publique américaine et de l’effrayer. Comme on le sait, la peur n’est jamais bonne conseillère. Le Président Kennedy empêcha in extrémis la réalisation de ce projet nommé « Northwoods ». En 1963, Kennedy sera assassiné…
Je crains que ce soit exactement ce qui se soit passé le 11 septembre 2001 à New-York. Les attentats du 11 septembre ont coûté la vie à près de 3000 personnes. Quelques jours plus tard, Bush débutait sa guerre contre « l’axe du mal ». Après avoir mis la main sur les richesses de l’Irak et de la Libye (toujours utile dans la lutte aux ressources naturelles que mènent les USA et la Chine), nous avons connu les mêmes mécanismes en Syrie et au Mali. La seule différence c’est que les ennemis identifiés ne sont plus les communistes comme en 1962 mais les « islamistes ». Nous ne pouvons plus accepter ce monde du mensonge organisé où nos dirigeants sans foi ni loi créent des attentats comme ceux de New-York, de Londres, de Madrid, construisent un ennemi public n°1 en la personne de Ben Laden, diabolisent Saddam Hussein ou Kadhafi et j’en passe des vertes et des pas mûres pour manipuler l’opinion publique et servir les intérêts personnels ou financiers qu’ils défendent… N’oublions pas non plus l’épisode épique de la prétendue traque de Ben Laden, de son meurtre et de la jetée de son corps dans la mer… C’est tellement gros que je me demande QUI peut encore croire cette version des faits ? Il n’y a aucune image de la dépouille de Ben Laden mais cet évènement a permis de considérer Obama comme un sauveur de la nation alors qu’il se préparait à partir en campagne pour son second mandat… La mort de Ben Laden, c’était du pain béni pour Obama… Comme le 11 septembre le fut pour Bush. Sa lutte contre le prétendu terrorisme islamiste lui aura offert sur un plateau son second mandat. Un second mandat qu’il n’aurait jamais pu espérer si le 11 septembre n’avait pas eu lieu !
Sur base de ces éléments, il est facile de faire un parallèle avec ce qui s’est passé dernièrement au Mali. François Hollande prétendait lutter contre les terroristes islamistes mais jamais nous n’avons vu la moindre trace de ces individus, jamais nous n’avons vu la moindre image des combats. Par contre, nous avons bien vu ces image des troupes françaises protégeant les sites d’Aréva… Une vaste blaque, une supercherie indigne du 21ème siècle !
Les terroristes maliens me font penser aux armes de destructions massives de Saddam Hussein, on en a beaucoup parlé mais on ne les a jamais vues !
Comment ne pas comprendre que l’affaire Merah, en France, fut instrumentalisée par Sarkozy, aux abois dans les sondages afin de tenter de renverser le tendance en jouant sur les peurs dans son combat électoral avec François Hollande ?
Avec ce prétendu attentat au musée juif de Bruxelles, la Belgique, contrairement aux USA ou à la France, aurait peut-être même réussi l’exploit de commettre cet attentat de Bruxelles sans faire la moindre victime. De quoi faire de la Belgique, le maître de la manipulation politico-médiatique !
Ma main à couper qu’on ne retrouvera jamais le tueur du Musée Juif. Ou si on le retrouve, j’imagine qu’il sera fan de Soral, de Dieudonné ou tout simplement sympathisant de DEBOUT LES BELGES.
Comme pour l’affaire Mérah, dont les premiers témoins évoquaient un homme blanc, tatoué au visage et de corpulence trapue, on se rabattra sans doute sur un musulman instrumentalisé par les services belges ou sur un homme qui n’a rien avoir avec cette affaire. On le coincera dans son appartement et on l’éliminera, prétendant qu’il était menaçant, dangereux, au lieu de l’arrêter et de le juger. Il ne serait assurément pas bon entendre sa version des faits… Peut être même le jettera-t-on au large, dans la mer du nord, par respect pour sa religion, comme les soldats US l’ont fait pour Ben Laden.
Cet événement du 24 mai 2014 au Sablon est un attentat terroriste. Le terrorisme, selon la définition courante, est l’emploi de la terreur à des fins politiques. Alors oui, nos politiciens récupèrent cet événement dans la minute qui suit pour terroriser les citoyens belges et pour m’accuser de ces meurtres antisémites, à des fins politiques. Les terroristes, ici, sont ceux qui récupèrent cette affaire pour justifier les multiples tricheries électorales du lendemain. Ils ne sont d’ailleurs tellement plus gênés qu’ils laissent les médias relayer toutes leurs incohérences. La vérité les effraie. Pour justifier leurs thèses sur Soral, Dieudonné et moi-même, je suis certain qu’ils sont capables d’éliminer des personnes innocentes de leur communauté pour terroriser la population et justifier leurs mesures contre la liberté d’expression, contre la liberté de penser, contre l’antisionisme politique. Tous les politiciens belges sont sionistes, soit par conviction, soit par soumission. En bon insoumis, j’étais une personne à salir et à éliminer. Dans ce dossier de l’attentat au Musée Juif, nos responsables politiques sont même peut-être parvenus à remplir leurs ojectifs sans même faire couler la moindre goutte de sang… Un exploit rendu possible par le manque de travail, de recherches et d’investigations de la presse qui a perdu tout esprit critique et accepte toutes les incohérences sans broncher !
Sur le mur de la LDJ de Paris, la ligue de défense juive, on peut lire des appels au meurtre à mon encontre. Ça, ça va, c’est autorisé. C’est normal. Par contre, faites une quenelle et vous serez viré de votre boulot, passé à tabac par ces énergumènes, etc.
Je ne suis plus député, certes, mais le combat contre ces menteurs, ces manipulateurs, ces hypocrites envers leur religion, le judaïsme authentique, continue ! Ces manipulateurs sionistes font des Juifs, des Chrétiens et des Musulmans des ennemis alors qu’ils sont des frères, comme le prouve le climat sain et fraternel qui régnait en Palestine avant 1948. A cette époque, Juifs, Chrétiens et Musulmans cohabitaient en harmonie et dans la fraternité. C’était avant que le sionisme ne donne naissance à ce projet colonial qu’est Israël. Il faut aujourd’hui avoir énormément de courage pour le dire. Les Belges debout sont des Belges courageux.
Le courage aujourd’hui nous impose à chercher la vérité dans ce monde de manipulations politico-médiatiques, c’est ce que je m’efforcerai à faire durant les prochains mois. Nous avons droit à une information libre et indépendante, c’est actuellement une des missions du mouvement citoyen DEBOUT LES BELGES que je préside.
A vous de vous faire VOTRE OPINION !
Laurent LOUIS
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Revenons tout d’abord sur les faits :
Samedi 24 mai, 15h28, quartier du Sablon en plein cœur de Bruxelles, alors qu’un soleil de plomb brille sur la capitale belge, une Audi A6 noire immatriculée 9-AAA-130 s’immobilise en double file à hauteur du 21, Rue des Minimes. Un homme sort du côté passager muni de 2 sacs à dos. A peine entré dans le Musée juif de Bruxelles, l’homme sort de son sac une arme et tire sur des visiteurs. Selon les autorités, 3 personnes décèdent sur le coup. Une 4ème décèdera à l’hôpital le lendemain des faits.
Comme si de rien n’était, le tireur remonte dans l’Audi et prend la fuite. Par chance, un témoin relève la plaque d’immatriculation, un élément qui sera capital dans notre recherche de la vérité.
Peu après la tragédie et en quelques minutes, les rues sont bouclées. La présence policière est à son comble. Tous les médias sont présents, tous les politicards également. Didier Reynders, Joëlle Milquet, Elio Di Rupo, Olivier Maingain, Yvan Mayeur, Viviane Teitelbaum, Annemie Turtelboom,… La récupération politique d’un tel événement est une aubaine pour ces chasseurs d’images. L’électeur moyen qui ne sait trop pour qui voter la veille des élections appréciera sans doute la vaillance et le courage de ces soldats de la liberté en quête de légitimité.
C’est ce 24 mai que la Belgique se découvre un super héros ! Super Didier, ministre de l’intérieur, était sur place. Il a entendu les coups de feu et a couru au secours des victimes. Il devait vraiment être à quelques mètres des faits car, à la télévision, pas une seule trace de transpiration sur sa chemise. Il a pourtant appelé l’ambulance et s’est précipité pour tenter de porter secours aux victimes. Sans les toucher j’imagine puisqu’il n’a pas une seule trace de sang sur ses vêtements… Il est tellement choqué par cet événement qu’il sort livide du musée mais donne immédiatement après les faits une multitude d’interviews devant les caméras. Une chance inespérée à moins de 12 heures du début des élections ! Super Didier termine sa journée dans un restaurant chic de la chaussée d’Ixelles, le Cose Cosi où des militants de DEBOUT LES BELGES le surprennent entouré de toute son équipe et satisfait du travail accompli. Que voulez-vous, la violence, ça creuse l’appétit…
Les interviews se poursuivent durant toute la soirée. Tous les responsables politiques en profitent pour montrer leur tronches « colgatées » et récupérer politiquement cet événement dramatique.
Ils seront aidés par Joël Rubinfeld, le président de la Ligue Belge contre l’Antisémitisme (LBCA) et ancien Vice-Président du Parti Populaire de Mischaël Modrikamen, qui dira moins de 2h après les faits et sur toutes les chaînes de télévision nationales et étrangères que « ce qui s’est passé était prévisible » car « Nous assistons ces dernières années à une libération de la parole antisémite. Elle reprend du poil de la bête, notamment à travers les discours de l’humoriste Dieudonné ou du député belge antisémite Laurent Louis ». Nouvelle récupération politique !
Cette intervention irresponsable n’est pas inodine. Joël Rubinfeld m’en veut terriblement. En quittant le PP en 2011 alors que j’étais son seul et unique député, j’ai fait perdre au Parti Populaire la coquette somme de 40 000 euros par mois, une somme qui pour moitié revenait tous les mois à Joël Rubinfeld (15 000 euros pour son salaire de Vice-Président et 5000 euros pour la location du siège du PP dont il était propriétaire à l’Avenue Molière).
Au soir du drame de Bruxelles, Joël Rubinsfeld s’est fait l’allié des anciens partis politiques dont il a été membre par le passé : le MR et le PP ! Il se fait même l’allié du PS toujours friand de lutter contre les prétendus racistes et pseudos antisémites. Le but était clair : décourager les citoyens de me soutenir moi et mon mouvement DEBOUT LES BELGES à quelques heures des élections en me mettant sur le dos une responsabilité totalement surréaliste dans le meurtre commis à Bruxelles. Laurent LOUIS, qui tenait un meeting en plein air et sans la moindre autorisation au moment des faits à Charleroi et dont personne n’a parlé, serait responsable moral de cette tuerie prétendument antisémite ! Vous imaginez un peu ? Je comprends mieux pourquoi les autorités communales de Charleroi nous ont laissé tenir notre meeting en plein centre-ville sans intervenir. Savaient-elles qu’on préparait contre DEBOUT LES BELGES une attaque atomique ? Comme à chaque fois qu’on se déplace quelque part nous avons droit à un comité d’accueil policier, même pour distribuer des tracts sur les marchés, cette tolérence du 24 mai à notre égard ne peut nous sembler que suspecte…
Ainsi, à quelques heures des élections, on m’accusait d’être responsable de cet attentat antisémite à cause de mes prétendus appels à la haine des Juifs. On m’avait déjà accusé d’être à l’origine d’un coup d’Etat au Congo visant à renverser le président fantoche de la RDC, Joseph Kabila, me voilà maintenant cité comme responsable de la tuerie antisémite du musée Juif de Bruxelles ! Peut-être apprendrons-nous dans quelques semaines que j’étais le commanditaire des attentats du 11 septembre 2001 voire le conseiller d’Adolf Hitler en 1940… Comme on sait, plus c’est gros et plus ça passe !
Immédiatement après les déclarations irresponsables de Joël Rubinfeld (cet homme capable de sortir une arme en plein bureau politique du PP et de menacer ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui), je fus menacé de mort sur mon téléphone portable. Des menaces précises et sérieuses qui entrainèrent ma mise sous protection de la police pendant de longues heures. Le lendemain, je dus même me rendre au bureau avec une escorte policière. Totalement surréaliste ! Des premiers éléments de l’enquête, il semblerait que les menaces téléphoniques aient été proférées en utilisant un numéro caché estonien. Preuve que ces menaces ne sont pas l’œuvre du premier plaisantin venu…
Je n’ai pourtant jamais eu de propos antisémites pour la simple et unique raison que je ne le suis pas. Je n’ai aucune animosité à l’égard des Juifs mais l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme est pugnace et il est vrai que nous assistons ces dernières années à une libération de la parole antisioniste. Dans l’exercice de mes fonctions de député, j’ai choisi de me positionner contre le sionisme. C’est ma liberté, c’est mon droit. Je l’ai choisi car je sais que le sionisme est une idéologie néfaste, néocolonialiste, fasciste qui prône la domination d’une race, d’un groupe religieux, d’individus appartenant ou prétendant appartenir à une communauté sur une autre. Toute personne attachée à la justice, à l’éthique, à la morale se doit d’être antisioniste. Si elle ne l’est pas, c’est qu’elle ne s’intéresse pas à cette question et est ignorante à ce sujet. Mais aujourd’hui, il est devenu impossible de dénoncer les exactions de l’Etat d’Israel, de critiquer honnêtement ce régime qui repose sur une théocratie militaire, sans être taxé d’affreux antisémite. Mon grand-père a pourtant résisté à l’oppresseur pendant la guerre et a passé 4 années dans un camp de travail allemand et j’ai moi-même été membre de la Brigade Piron qui libèra le pays du nazisme mais bon, passons…
Le mal était fait. Rubinfeld avait bien sali mon nom à quelques heures des élections. Nul doute que son objectif était de venir prêter main forte à son ami, Mischaël Modrikamen, ancien Président de la Communauté Israélite Libérale de Belgique, sioniste convaincu financé par Israël et tête de liste PP dans le Hainaut, ce Hainaut-même où je me présentais comme tête de liste DEBOUT LES BELGES à la Chambre tout en aidant le MR qui gagnera un siège dans le Hainaut le lendemain des faits, un MR dont l’homme a toujours été proche. Pour preuve, alors qu’il était Vice-Président du PP, Rubinfeld stockait, dans la cave de sa magnifique maison de maître sur la prestigieuse Avenue Molière dont il avait fait le siège du PP, des affiches du MR à l’affigie de ses amis : Armand De Decker, Frédérique Ries ou encore Viviane Teitelbaum (par solidarité communaitaire bien entendu…)
Et Didier Reynders, qu’en est-il me direz-vous ? Et bien Super Didier a fait un carton aux élections en devenant le champion des voix de préférence à Bruxelles avec plus de 53 000 voix personnelles ! Sans doute que de nombreux citoyens auront vu en lui le Superman dont notre pays avait besoin… Un Superman qui a pourtant pendant des années démontré son incapacité à gérer convenablement les finances du pays et sa politique internationale…
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cet attentat prétendument antisémite profite totalement au MR ! Un MR qui a toujours été proche de la Communauté juive de Belgique et qui compte en ses rangs de nombreux membres de cette communauté aux pouvoirs parfois surnaturels…
Pourrait-on imaginer que le MR soit à la base de cet attentat qui ne serait alors qu’une supercherie d’ Etat visant à influencer le résultat des élections ? On sait que de nombreuses analyses ont déjà cité le PRL, ancêtre du MR, comme responsable ou commanditaire des attentats commis dans les années 80 par la bande des tueurs du Brabant. Pourrait-on imaginer que cet attentat contre le musée Juif de Bruxelles soit en réalité un false flag, un attentat sous faux drapreau, une supercherie montée par nos dirigeants en vue d’orienter le résultat des élections ?
Cela pourrait paraître totalement surréaliste mais de nombreux éléments sont pourtant de nature à étayer cette thèse. Je vais les parcourir avec vous :
Didier Reynders est Ministre des Affaires étrangères. Il est donc bien placé pour préparer un tel attentat en collaboration avec les autorités israéliennes pour lesquelles tout acte antisémite est utilisé pour justifier l’oppression du peuple palestinien. Pour Israël un attentat contre les intérêts juifs dans le monde, c’est une aubaine ! De quoi justifier encore un peu plus les meurtres d’innocents palestiniens et la création de nouvelles colonies illégales en terres palestiniennes… Didier Reynders était en outre sur place lors de l’attentat puisqu’il a entendu les tirs et qu’il a appelé les secours. Le hasard fait parfois bien les choses… Vous savez que je ne crois pas au hasard…
Didier Reynders est le grand bénéficiaire de ce prétendu attentat. Comme toujours, il faut se poser la question de savoir à qui profite le crime. Vu le battage médiatique et les résultats des élections à Bruxelles, Reynders et le MR sont les grands gagnants !
Des informations glanées auprès de collaborateurs du MR nous permettent de savoir que le PS aurait été à la base des bugs informatiques rencontrés à Bruxelles et à Liège lors de la soirée électorale. Le PS serait également à la base des retards que l’on a rencontré dans les dépouillements en Wallonie et en particulier dans le Hainaut. Selon nos informations, le PS aurait bloqué la transmission des résultats vu ses scores catastrophiques. Un accord serait alors intervenu entre le PS et MR. Le PS n’étant pas dupe, il était au courant que l’attentat de Bruxelles n’était qu’un fake. Le PS fit donc pression sur le MR pour qu’il le laisse manipuler le résultat des urnes en Wallonie et à Bruxelles. Le MR accepta le deal à condition d’obtenir quelques élus de plus à la Chambre et la dotation publique qui va avec… Ce fut fait puisque le MR gagna 2 sièges à la Chambre… Le PS, lui, échappa à la catastrophe en acceptant une perte de 3 sièges alors que durant toute la campagne électorale, j’ai pu constater à quel point les électeurs souhaitaient sanctionner sévèrement le PS pour les trahisons dont il fit preuve durant ces 4 dernières années… Voilà comment se répartissent les sièges en Belgique… Les élections ne sont qu’un simulacre de démocratie, les élus ne sont pas choisis dans les urnes mais bien au Boulevard de l’Empereur et à la Toison d’Or ! Pas étonnant dès lors qu’avec 13 000 voix de préférence, 7ème score du Hainaut, je ne sois pas élu alors que d’autres candidats le sont avec parfois tout juste 6000 voix et que 18 sièges étaient en jeu…
Le tueur du musée juif est arrivé sur les lieux du crime à bord d’une Audi A6 (voiture traditionnelement utilisée par les services officiels de l’Etat belge. Le Président de la Chambre par exemple dispose d’une Audi A6 de fonction) immatriculée 9-AAA-130. Cette voiture est un voiture officielle qui a été vue (photos à l’appui) dans le défilé officiel du 21 juillet dernier. Etonnant, non ? L’Etat belge serait-il lié à cet attentat ?Capture d'écran 2014-05-30 10.22.15
Grâce à l’intervention d’un témoin, la plaque du véhicule a été identifiée et communiquée à tous les services de police. Rapidement, le propriétaire du véhicule fut identifié et intercepté dans le Nord de Bruxelles. Il fut considéré pendant les premières heures de l’enquête comme le suspect numéro 1 de cette fusillade. Ensuite, il passa très rapidement du statut de suspect à celui de témoin et fut finalement relâché. Il est évident que les téléphones ont dû chauffer. Imaginez qu’un fonctionnaire de l’Etat soit considéré comme l’auteur ou le complice de cet attentat antisémite, ça fait désordre… Il est pourtant difficile d’imaginer que l’homme intercepté n’était pas le chauffeur du tueur. Certains disent que la plaque aurait été copiée et utilisées par les terroristes. OK, je peux l’imaginer mais pourquoi donc utiliser une plaque officielle facilement repérable ??? Des Audis A6 avec des plaques banales, ce n’est pas ce qui manque en Belgique.Utiliser sciemment des plaques officielles aurait été un non-sens absolu pour des terroristes bien préparés comme l’était le tueur du Sablon! C’est pourtant ce qu’on tente de nous faire croire ! Tout porte à croire que le propriétaire de ce véhicule a bel et bien conduit le tueur sur place à la demande des autorités belges. L’Etat n’avait tout simplement pas prévu l’intervention de ce témoin qui nota la plaque d’immatriculation… A partir de là, il aura fallu s’adapter. C’est pourquoi le propriétaire est passé du statut de suspect à celui de simple témoin pour ensuite être totalement libéré. Le contraire aurait mis l’Etat belge particulièrement mal à l’aise sur la scène internationale…
Capture d'écran 2014-05-30 10.21.33Immédiatement après les faits une photo particulièrement choquante des victimes de l’attentat a été publiée dans la presse. C’est un fait rarissime ! En général, on ne montre JAMAIS les photos de personnes décédées dans la presse. Jamais sauf dans le cas de cette tuerie au Musée Juif. Et si on le fait, on prend soin de mettre un drap blanc sur celles-ci. Un peu comme s’il fallait bien prouver l’existence de cet attentat et émouvoir le public, la presse a diffusé cette image particulièrement choquante où l’on voit une femme gisant sur le sol avec une flaque de sang à hauteur de la tête. C’est étonnant qu’une telle photo ait pu être pubiée. Plus étonnant encore c’est la tâche de sang. En général, le sang s’écoule et forme une mare. C’est de là que vient l’expression « baigner dans une mare de sang ». Mais le sang de la dame en question doit être particulièrement épais car sur la photo, on voit clairement que ce sang s’est agglutiné pour former une toute petite flaque épaise d’un bon centimètre et demi. Etonnant, cette flaque de sang présente la même densité et épaisseur que le ketchup…
L’identité des victimes est interpellante. Emmanuel et Myriam RIVA, 2 victimes israéliennes liées au MOSSAD, les services secrets israéliens. Une coïcidence, un hasard ? Je ne crois ni aux coïncidences ni au hasard surtout quand il s’agit d’Israël… Les 2 autres victimes sont une française résidant à Uccle, la commune de Didier Deynders et un jeune étudiant belge, Alexandre Strens domicilié dans le Nord de Bruxelles. Soit 3 ressortissants étrangers inconnus et sans attaches en Belgique. Pratique si on veut détourner l’attention des victimes et se focaliser sur l’auteur des faits.
Les prétendues victimes israéliennes ont été rapatriée en urgence vers Tel-Aviv le lundi dans la journée. En effet, mardi, soit un peu plus de 48h après les faits, Monsieur et Madame RIVA étaient déjà inhumés en terres « palestiniennes ». Pourquoi un tel empressement ? N’est-il pas d’usage pour un tel attentat de mener des expertises médico-légales poussées afin de trouver un quelconque indice aussi minime soit-il ? La victime française a également été rapatriée en France lundi alors qu’elle était pourtant domiciliée à Uccle. Et qu’est devenu le corps d’Alexandre Strens ? Pourquoi n’a-t-on pas permis aux Belges de lui rendre hommage ? Une recherche rapide sur Google semble en outre démontrer qu’Alexandre Strens n’existe pas sur le net en dehors de cet attentat. Le seuls liens qui parlent de lui sont en rapport avec l’attentat. Pas un seul profil Facebook, Twitter ou Linkedin. Très étonnant pour un jeune de 25 ans… Pas de traces de ce jeune homme. On dirait que son nom apparaît pour la toute première fois lors de l’éclatement de cette affaire. Etrange… Faites l’expérience et tapez votre nom sur Google, vous trouverez toujours un lien qui vous concerne (école, sport, hobby, emploi, annonce, compte Facebook, etc…). Ce n’est pas le cas d’Alexandre Strens…
Vu l’importance et la gravité des faits, on s’attendrait à ce que les 2 victimes belges et françaises aient droit à des funérailles nationales en présence de nos plus hautes autorités respectives. Pourtant plus de 5 jours après les faits, aucune trace de ces funérailles dont la presse serait pourtant la première à se faire l’écho. De quoi se demdander s’il y a bel et bien des victimes de cet attentat. Traditionnellement, on peut lire dans les journaux les témoignages de proches qui vantent les mérites des personnes décédées tragiquement. Ici, bizarrement, pas le moindre témoignage de proches des victimes… Et si des funérailles devaient être organisées à la suite de cet article, encore faudrait-il se demander si les cercueils contiennent bien les corps des personnes identifiées comme les victimes du Musée Juif. Il faudra aussi se demander si ces vicitmes sont bien décédées ce jour-là à Bruxelles au musée… Autant de questions que nous sommes en droit de nous poser vu l’incohérence des faits…
Ces différents éléments sont de nature à nous faire légitimement penser que cet attentat au Musée Juif de Bruxelles est un coup monté voire même une supercherie de l’Etat perpétrée dans le but d’influencer le résultat des élections du 25 mai 2014. Nous pouvons même légitimement douter de l’existence de victimes.
Les autorités belges se seraient-elles inspirées des attentats sous faux drapaux commis aux Etats-Unis (11 septembre 2001, attentat de Boston) ou en France (affaire Merah) ? Nous sommes en droit de nous poser la question mais savez-vous ce que sont les attentats sous faux drapeaux ? Non ? Je vais donc vous l’expliquer. En fait, créer des attentats terroristes est souvent le chemin le plus court vers le pouvoir. En se penchant sur le passé, il arrive souvent qu’on parvienne à mieux appréhender le présent. Ainsi, en 1962, l’état-major de l’armée américaine avait planifié de faux attentats terroristes contre SA propre population afin de pouvoir légitimer une action militaire contre Cuba, le Communisme et Fidel Castro. Les plans étaient simples: tuer un maximum de citoyens américains qu’ils soient civils ou militaires. Le but de ce projet était de manipuler l’opinion publique américaine et de l’effrayer. Comme on le sait, la peur n’est jamais bonne conseillère. Le Président Kennedy empêcha in extrémis la réalisation de ce projet nommé « Northwoods ». En 1963, Kennedy sera assassiné…
Je crains que ce soit exactement ce qui se soit passé le 11 septembre 2001 à New-York. Les attentats du 11 septembre ont coûté la vie à près de 3000 personnes. Quelques jours plus tard, Bush débutait sa guerre contre « l’axe du mal ». Après avoir mis la main sur les richesses de l’Irak et de la Libye (toujours utile dans la lutte aux ressources naturelles que mènent les USA et la Chine), nous avons connu les mêmes mécanismes en Syrie et au Mali. La seule différence c’est que les ennemis identifiés ne sont plus les communistes comme en 1962 mais les « islamistes ». Nous ne pouvons plus accepter ce monde du mensonge organisé où nos dirigeants sans foi ni loi créent des attentats comme ceux de New-York, de Londres, de Madrid, construisent un ennemi public n°1 en la personne de Ben Laden, diabolisent Saddam Hussein ou Kadhafi et j’en passe des vertes et des pas mûres pour manipuler l’opinion publique et servir les intérêts personnels ou financiers qu’ils défendent… N’oublions pas non plus l’épisode épique de la prétendue traque de Ben Laden, de son meurtre et de la jetée de son corps dans la mer… C’est tellement gros que je me demande QUI peut encore croire cette version des faits ? Il n’y a aucune image de la dépouille de Ben Laden mais cet évènement a permis de considérer Obama comme un sauveur de la nation alors qu’il se préparait à partir en campagne pour son second mandat… La mort de Ben Laden, c’était du pain béni pour Obama… Comme le 11 septembre le fut pour Bush. Sa lutte contre le prétendu terrorisme islamiste lui aura offert sur un plateau son second mandat. Un second mandat qu’il n’aurait jamais pu espérer si le 11 septembre n’avait pas eu lieu !
Sur base de ces éléments, il est facile de faire un parallèle avec ce qui s’est passé dernièrement au Mali. François Hollande prétendait lutter contre les terroristes islamistes mais jamais nous n’avons vu la moindre trace de ces individus, jamais nous n’avons vu la moindre image des combats. Par contre, nous avons bien vu ces image des troupes françaises protégeant les sites d’Aréva… Une vaste blaque, une supercherie indigne du 21ème siècle !
Les terroristes maliens me font penser aux armes de destructions massives de Saddam Hussein, on en a beaucoup parlé mais on ne les a jamais vues !
Comment ne pas comprendre que l’affaire Merah, en France, fut instrumentalisée par Sarkozy, aux abois dans les sondages afin de tenter de renverser le tendance en jouant sur les peurs dans son combat électoral avec François Hollande ?
Avec ce prétendu attentat au musée juif de Bruxelles, la Belgique, contrairement aux USA ou à la France, aurait peut-être même réussi l’exploit de commettre cet attentat de Bruxelles sans faire la moindre victime. De quoi faire de la Belgique, le maître de la manipulation politico-médiatique !
Ma main à couper qu’on ne retrouvera jamais le tueur du Musée Juif. Ou si on le retrouve, j’imagine qu’il sera fan de Soral, de Dieudonné ou tout simplement sympathisant de DEBOUT LES BELGES.
Comme pour l’affaire Mérah, dont les premiers témoins évoquaient un homme blanc, tatoué au visage et de corpulence trapue, on se rabattra sans doute sur un musulman instrumentalisé par les services belges ou sur un homme qui n’a rien avoir avec cette affaire. On le coincera dans son appartement et on l’éliminera, prétendant qu’il était menaçant, dangereux, au lieu de l’arrêter et de le juger. Il ne serait assurément pas bon entendre sa version des faits… Peut être même le jettera-t-on au large, dans la mer du nord, par respect pour sa religion, comme les soldats US l’ont fait pour Ben Laden.
Cet événement du 24 mai 2014 au Sablon est un attentat terroriste. Le terrorisme, selon la définition courante, est l’emploi de la terreur à des fins politiques. Alors oui, nos politiciens récupèrent cet événement dans la minute qui suit pour terroriser les citoyens belges et pour m’accuser de ces meurtres antisémites, à des fins politiques. Les terroristes, ici, sont ceux qui récupèrent cette affaire pour justifier les multiples tricheries électorales du lendemain. Ils ne sont d’ailleurs tellement plus gênés qu’ils laissent les médias relayer toutes leurs incohérences. La vérité les effraie. Pour justifier leurs thèses sur Soral, Dieudonné et moi-même, je suis certain qu’ils sont capables d’éliminer des personnes innocentes de leur communauté pour terroriser la population et justifier leurs mesures contre la liberté d’expression, contre la liberté de penser, contre l’antisionisme politique. Tous les politiciens belges sont sionistes, soit par conviction, soit par soumission. En bon insoumis, j’étais une personne à salir et à éliminer. Dans ce dossier de l’attentat au Musée Juif, nos responsables politiques sont même peut-être parvenus à remplir leurs ojectifs sans même faire couler la moindre goutte de sang… Un exploit rendu possible par le manque de travail, de recherches et d’investigations de la presse qui a perdu tout esprit critique et accepte toutes les incohérences sans broncher !
Sur le mur de la LDJ de Paris, la ligue de défense juive, on peut lire des appels au meurtre à mon encontre. Ça, ça va, c’est autorisé. C’est normal. Par contre, faites une quenelle et vous serez viré de votre boulot, passé à tabac par ces énergumènes, etc.
Je ne suis plus député, certes, mais le combat contre ces menteurs, ces manipulateurs, ces hypocrites envers leur religion, le judaïsme authentique, continue ! Ces manipulateurs sionistes font des Juifs, des Chrétiens et des Musulmans des ennemis alors qu’ils sont des frères, comme le prouve le climat sain et fraternel qui régnait en Palestine avant 1948. A cette époque, Juifs, Chrétiens et Musulmans cohabitaient en harmonie et dans la fraternité. C’était avant que le sionisme ne donne naissance à ce projet colonial qu’est Israël. Il faut aujourd’hui avoir énormément de courage pour le dire. Les Belges debout sont des Belges courageux.
Le courage aujourd’hui nous impose à chercher la vérité dans ce monde de manipulations politico-médiatiques, c’est ce que je m’efforcerai à faire durant les prochains mois. Nous avons droit à une information libre et indépendante, c’est actuellement une des missions du mouvement citoyen DEBOUT LES BELGES que je préside.
A vous de vous faire VOTRE OPINION !
Laurent LOUIS
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